Non classé – Pjotr Images – Conseils & Outils pour Entrepreneurs, Managers et Indépendants https://www.pjotr-images.com Tue, 01 Jul 2025 10:48:27 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.1 https://www.pjotr-images.com/wp-content/uploads/2025/06/cropped-icon-32x32.png Non classé – Pjotr Images – Conseils & Outils pour Entrepreneurs, Managers et Indépendants https://www.pjotr-images.com 32 32 Coaching en entreprise : levier de performance ou simple effet de mode ? https://www.pjotr-images.com/coaching-en-entreprise-levier-de-performance-ou-simple-effet-de-mode/ https://www.pjotr-images.com/coaching-en-entreprise-levier-de-performance-ou-simple-effet-de-mode/#respond Tue, 01 Jul 2025 10:22:30 +0000 https://www.pjotr-images.com/coaching-en-entreprise-levier-de-performance-ou-simple-effet-de-mode/ Ces dernières années, impossible de passer à côté : le coaching en entreprise est partout. Dans les open spaces, sur LinkedIn, même autour de la machine à café, on en parle. Certains y voient un accélérateur de performance, d’autres lèvent un sourcil en mode “encore un buzzword à la mode”. Alors, qu’est-ce qui se cache vraiment derrière cette tendance ? Est-ce qu’on y gagne vraiment quelque chose… ou est-ce juste une jolie vitrine RH ?

Franchement, j’ai moi-même été un peu sceptique au début. Puis j’ai échangé avec deux dirigeants à Lyon, dans le quartier de la Part-Dieu, qui m’ont raconté comment un coach les avait aidés à débloquer une situation ultra tendue entre deux équipes. Résultat : -25% de turnover en un an. Pas mal. Et si vous voulez creuser le sujet, je vous conseille d’aller faire un tour sur https://www.planete-coaching.com : c’est une mine d’or, avec des exemples très concrets de coaching en action.

Le coaching pro, concrètement, ça sert à quoi ?

Attention, on ne parle pas ici du coaching “développement personnel version Instagram”. Le coaching en entreprise, c’est souvent très pragmatique. Le coach, c’est un miroir (pas toujours confortable), qui vous pousse à clarifier vos objectifs, à affronter les non-dits, et à sortir du mode pilote automatique.

Un exemple ? Une boîte de tech à Montpellier a fait appel à une coach pour aider ses managers à mieux gérer leur temps et déléguer. Résultat : des réunions deux fois plus courtes, des prises de décision plus fluides, et une ambiance franchement plus détendue.

Performance : vrai levier ou illusion ?

La question qui fâche un peu : est-ce que ça marche VRAIMENT ? Bah… pas toujours. Ça dépend du coach, de la demande, et surtout de l’envie de jouer le jeu. Un coaching imposé “parce qu’il faut cocher la case bien-être au travail” ? Autant jeter l’argent par la fenêtre.

Mais quand c’est bien cadré, avec un objectif clair (résoudre un conflit, accompagner une prise de poste, booster un collectif…), les résultats sont souvent bluffants. Une étude menée par l’ICF (International Coach Federation) a révélé que 86% des entreprises ayant investi dans le coaching ont constaté un retour sur investissement positif. Ça calme.

Effet de mode ou transformation durable ?

Ouais, on peut dire que c’est à la mode. C’est vrai. Mais est-ce que ça veut dire que c’est inutile ? Pas forcément. En fait, c’est peut-être juste le signe que les entreprises commencent enfin à s’attaquer sérieusement aux questions humaines. Fini le management version tableau Excel et coupes budgétaires à l’aveugle.

Perso, je vois le coaching comme une sorte de catalyseur. Il ne fait pas le boulot à votre place, mais il vous aide à aller droit au but. Il vous oblige à regarder ce que vous évitez depuis des mois. Et rien que ça, c’est pas rien.

Comment savoir si c’est pour vous (ou votre boîte) ?

Posez-vous des vraies questions : est-ce que vous tournez en rond sur les mêmes sujets ? Est-ce que la communication est bloquée dans votre équipe ? Est-ce que vos managers galèrent à embarquer les équipes ? Si oui, il est peut-être temps de tester un coaching ciblé, sur 3 ou 6 mois, sans pression, juste pour voir.

Et surtout, choisissez bien la personne. Il y a du très bon… et du très flou. N’hésitez pas à demander des références, à rencontrer plusieurs profils. Le “fit” compte énormément. C’est un peu comme un psy : si ça passe pas, ça marchera pas.

En résumé : utile si bien utilisé

Le coaching en entreprise, ce n’est pas une baguette magique. C’est un outil. Et comme tout outil, il peut faire des merveilles ou ne rien changer du tout. Tout dépend de comment (et pourquoi) on s’en sert.

Mais dans un monde pro qui évolue aussi vite – nouvelles générations, télétravail, quête de sens… – avoir un espace pour prendre du recul, poser des mots, questionner ses pratiques… franchement, ça fait du bien. Et souvent, ça fait avancer. Vraiment.

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Manager en 2025 : quelles compétences développer pour rester crédible ? https://www.pjotr-images.com/manager-en-2025-quelles-competences-developper-pour-rester-credible/ https://www.pjotr-images.com/manager-en-2025-quelles-competences-developper-pour-rester-credible/#respond Mon, 30 Jun 2025 13:33:50 +0000 https://www.pjotr-images.com/manager-en-2025-quelles-competences-developper-pour-rester-credible/ Être manager aujourd’hui, c’est déjà tout sauf simple. Mais en 2025 ? C’est un peu comme jouer à Tetris… sauf que les pièces tombent plus vite et que le jeu change toutes les semaines.

Les attentes des équipes ont explosé. Les boîtes deviennent plus agiles, plus hybrides, plus exigeantes aussi. Et entre l’IA, le télétravail, la quête de sens, les générations qui ne veulent plus “bosser pour bosser”… ben faut suivre le rythme. Sinon, on devient vite le “manager d’hier” – tu sais, celui qu’on tolère encore mais qu’on ne consulte plus vraiment.

Et si tu veux garder ta légitimité, va falloir muscler quelques compétences clés. Pas besoin de tout réinventer hein, mais clairement, ce que tu faisais en 2018 ne suffit plus.

J’ai d’ailleurs trouvé un super comparatif des parcours pros actuels sur https://parcours-emploi.com : franchement, c’est utile pour prendre un peu de recul et envisager où se (re)former intelligemment.

1. La compétence n°1 : l’intelligence émotionnelle

Je sais, on en parle partout. Mais là, on n’est plus dans le “soft skill sympa à avoir”. En 2025, gérer une équipe sans comprendre ce qui se joue dans leurs têtes (et dans leurs tripes), c’est comme piloter un avion sans radar.

Les collaborateurs attendent de la reconnaissance, de l’écoute, de la clarté dans les moments flous. Et avec les rythmes de boulot qui s’accélèrent, le stress qui grimpe, les burnouts qui s’installent vite… un manager incapable de capter les signaux faibles devient un risque.

Donc oui, savoir lire entre les lignes, poser des questions ouvertes, sentir quand quelqu’un décroche… c’est devenu essentiel. Et non, ce n’est pas inné. Ça s’apprend. Vraiment.

2. Savoir coacher, pas juste “gérer”

Avant, un manager ça fixait les objectifs, faisait les bilans, recadrait si besoin. Maintenant ? Tu dois accompagner, motiver, développer les gens. Un peu comme un coach sportif qui connaît bien les forces de chaque joueur et qui ajuste son discours en permanence.

Perso, j’ai vu des managers perdre pied parce qu’ils pensaient que donner un feedback par trimestre, c’était suffisant. Spoiler : c’est pas suffisant. Aujourd’hui, les équipes veulent du feedback continu, du soutien personnalisé.

T’as pas besoin d’être un gourou du leadership. Mais tu dois vraiment apprendre à poser les bonnes questions, à aider les gens à se poser les leurs, à célébrer les mini-victoires. Ça change tout.

3. Maîtriser l’IA (un minimum)

Alors non, on ne te demande pas de coder une IA générative entre deux réunions. Mais en 2025, un manager qui ne comprend rien aux outils dopés à l’IA… ben il est vite largué.

Tu dois savoir ce que ton équipe peut automatiser, ce qui peut être boosté avec des prompts bien calibrés, ou comment ChatGPT (oui, coucou) peut t’aider à synthétiser des idées ou des comptes-rendus. Tu veux un exemple concret ? Une de mes connaissances, manager dans une PME à Lille, a réduit de 40% le temps de reporting mensuel en mixant Notion + IA. Résultat : moins de paperasse, plus de temps pour les vraies discussions.

Si tu restes bloqué sur “je préfère faire à l’ancienne”, t’es mort. Gentiment, mais mort.

4. La capacité à gérer l’incertitude (et à la transmettre)

Je te le dis comme je le pense : les plans figés à 5 ans, c’est fini. On vit dans une époque où tout peut basculer en trois semaines. Guerre, crise sanitaire, nouvelle techno, changement de politique interne… boum.

Du coup, les bons managers en 2025 sont ceux qui acceptent l’incertitude. Mieux : qui arrivent à embarquer leur équipe avec eux, malgré l’instabilité. Et ça, ça passe par une communication claire, transparente, régulière. Même quand t’as pas toutes les réponses.

Le pire, c’est pas de dire “je sais pas”. Le pire, c’est de faire semblant de savoir.

5. Créer un collectif (même à distance)

T’as déjà essayé de créer de la cohésion avec une équipe éclatée entre Marseille, Toulouse et Montréal ? C’est un vrai défi. Mais c’est le quotidien de plein de managers en 2025.

Créer une culture d’équipe sans la machine à café, sans les apéros d’impro, sans les échanges en face-à-face… ben ça demande une intention forte. Faut ritualiser les moments informels, créer des espaces de parole, organiser des temps où on ne parle pas que de boulot.

Une amie DRH me disait récemment : “Le lien ne se crée plus par défaut. Il faut l’orchestrer.” C’est tellement vrai.

Et toi, t’en es où ?

Tu te reconnais là-dedans ? Tu te dis que t’as déjà une bonne base, ou au contraire que va falloir te mettre à jour ?

Parce qu’en vrai, personne n’est 100% prêt. Mais ce qui compte en 2025, c’est pas d’être parfait. C’est d’évoluer, de rester curieux, de tester des trucs. Et surtout, de continuer à être un manager qui donne envie de bosser ensemble.

Alors, t’attends quoi pour t’y mettre ?

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Comment trouver un bon prestataire local sans perdre son temps https://www.pjotr-images.com/comment-trouver-un-bon-prestataire-local-sans-perdre-son-temps/ https://www.pjotr-images.com/comment-trouver-un-bon-prestataire-local-sans-perdre-son-temps/#respond Fri, 27 Jun 2025 11:02:13 +0000 https://www.pjotr-images.com/comment-trouver-un-bon-prestataire-local-sans-perdre-son-temps/ Franchement, si tu as déjà passé une demi-journée à chercher un plombier ou un graphiste fiable, tu sais à quel point ça peut te plomber (sans mauvais jeu de mot). Entre les sites lents, les avis douteux et les appels qui ne répondent jamais, c’est vite le casse-tête. Pourtant, que tu sois indépendant, patron de PME ou chargé de projet dans une grosse boîte, on en revient toujours à la même question : *à qui je peux confier ça les yeux fermés ?*

Et là, la tentation est grande de taper un truc comme *plombier Bayonne* et de cliquer sur le premier lien venu. Mauvais réflexe ? Pas toujours. Si tu tombes sur un site comme https://plombier-bayonne.fr, propre, clair, avec des infos concrètes et des avis authentiques, tu sens que t’as mis le pied au bon endroit. Mais c’est justement ça le vrai sujet : comment tu fais pour distinguer un bon prestataire d’un joli site vide ?

1. Commence par le bouche-à-oreille (même numérique)

C’est vieux comme le monde, mais ça marche. Pose la question autour de toi : collègues, partenaires, même sur LinkedIn ou Slack si tu bosses dans un collectif. J’ai trouvé un développeur freelance en or comme ça, juste grâce à une reco glissée dans un message un peu anodin.

Et si t’as pas ce réseau ? Fouille les forums pros, les groupes Facebook locaux (oui, encore en 2025 ça existe), les commentaires sous les posts spécialisés. Les vrais retours clients, c’est de l’or en barre.

2. Prends 15 minutes pour creuser un peu (pas 2h, mais un peu quand même)

Je sais, t’es pressé. Mais si tu choisis au pif, tu perds 3 fois plus de temps derrière. Donc check rapidement ces points :

  • Le site est-il clair, pro, à jour ?
  • Y’a-t-il des avis Google récents, bien rédigés ?
  • Tu peux appeler ? Ils répondent ? (ça paraît bête mais c’est révélateur)

Petit conseil perso : regarde aussi s’ils sont actifs quelque part (réseaux sociaux, blog, fiches outils). Un prestataire qui prend la peine de communiquer un minimum, souvent, c’est quelqu’un qui prend soin de son taf.

3. Pose les bonnes questions, cash

Quand tu fais ton premier contact, va droit au but. Voici quelques questions simples qui font gagner du temps :

  • Est-ce que c’est vous qui intervenez ou vous sous-traitez ?
  • Quel est votre délai d’intervention / livraison ?
  • Est-ce que vous avez déjà bossé avec des pros comme moi ?
  • Vous pouvez me montrer un exemple concret de ce que vous avez fait récemment ?

Et surtout, écoute comment la personne répond. T’as le droit de ressentir si ça sonne juste ou pas. On ne signe pas un devis avec quelqu’un qui te donne déjà mal au ventre au téléphone.

4. Un bon prestataire, c’est pas juste un bon technicien

Ça, c’est un piège classique. Tu prends un type ultra-compétent, mais qui te plante au dernier moment, qui comprend rien à tes contraintes business, ou qui t’envoie un devis en mode PDF 1998. Pas possible.

Un bon prestataire local, c’est aussi quelqu’un qui communique bien, qui comprend vite tes attentes, et qui est réactif. Mieux vaut quelqu’un d’un peu moins “expert”, mais carré, joignable, et fiable, que l’inverse.

5. Fixe un cadre dès le début (même pour un truc “simple”)

Un logo, une petite fuite, une vidéo de 2 minutes… peu importe. Pose le cadre noir sur blanc. Délais, prix, livrables, modalités de paiement. Même si c’est un prestataire recommandé par ton cousin. Pas de place au flou. Ça évite 80% des galères.

Et ensuite ? Garde-les au chaud

Quand tu tiens un bon, garde son contact précieusement. Crée-toi un petit carnet de prestataires testés et validés, par ville, par domaine, avec 2-3 notes. Parce que quand t’en auras besoin en urgence à nouveau, t’auras pas le temps de refaire tout le processus.

Trouver un prestataire local fiable, ça peut paraître chronophage au début. Mais une fois que t’as les bons réflexes, ça va beaucoup plus vite. Et surtout, ça t’évite des soucis. Perso, je préfère passer 30 minutes à bien choisir, que 3 jours à rattraper les dégâts d’un mauvais choix. Et toi ?

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Slack, Teams ou Discord : lequel booste vraiment la collaboration ? https://www.pjotr-images.com/slack-teams-ou-discord-lequel-booste-vraiment-la-collaboration/ https://www.pjotr-images.com/slack-teams-ou-discord-lequel-booste-vraiment-la-collaboration/#respond Wed, 18 Jun 2025 02:58:30 +0000 https://www.pjotr-images.com/?p=39 Slack, Teams ou Discord. Trois noms qui reviennent sans arrêt dans les discussions pro dès qu’on parle de bosser “mieux” en équipe. Et franchement, difficile de passer à côté : chaque plateforme a ses fans, ses détracteurs, et ses petites particularités qui font pencher la balance.

Mais alors… lequel choisir quand on cherche vraiment à booster la collaboration au taf ? Pas juste papoter ou empiler des canaux, hein. Non. Je parle de bosser ensemble, avancer plus vite, éviter les couacs.

Allez, on fait le tri ensemble.

Slack : le roi du chat bien rangé

Slack, c’est un peu le vétéran cool du trio. Arrivé avant les autres sur le terrain des outils modernes, il a été le premier à casser les codes de l’email.

Perso, j’ai bossé dans une agence où tout tournait sur Slack. Résultat ? Des canaux clairs, des emojis à foison (parfois trop), et une vraie culture de la réponse rapide. Tu poses une question, tu reçois souvent une réponse dans la minute. Pratique. Très.

Ce que j’ai aimé :
– L’interface super fluide
– Les intégrations (Trello, Google Drive, Zapier… tout y passe)
– La recherche interne (franchement puissante si on s’y prend bien)

Mais… faut le dire : dès que l’équipe grandit, Slack peut devenir un joyeux foutoir. Trop de canaux, trop de notifications, et cette impression d’être *obligé* d’être connecté tout le temps. Et ça, pour la concentration, c’est pas top.

Teams : le poids lourd corporate

Ah, Teams. L’outil préféré des DSI, surtout si l’entreprise est déjà sous Microsoft 365. C’est intégré, c’est solide, et ça fait le taf. Mais… est-ce que ça “booste” vraiment la collaboration ? Hmm.

Côté structure, Teams est ultra carré. Tu peux créer des équipes, des sous-équipes, rattacher des fichiers Word, Excel, des calendriers. Tout est là. Vraiment tout. Tellement tout que parfois… on se perd.

J’ai accompagné une PME de 60 personnes qui a basculé sur Teams. Leur retour après 3 mois ? “C’est bien, mais faut un mode d’emploi.” Pas faux. On est loin du côté intuitif de Slack ou Discord.

Ce qui joue en sa faveur :
– Ultra intégré à l’environnement Windows
– Appels et réunions en un clic
– Gestion documentaire (versionnage, coédition) bien fichue

Mais attention : Teams est pensé pour les organisations structurées. Si tu bosses en mode agile, startup ou freelance… tu risques de te sentir à l’étroit.

Discord : le rebelle devenu pro

Discord, à la base, c’est la plateforme des gamers. Mais depuis le COVID, surprise : plein d’équipes (créatifs, devs, assos, startups) l’ont adopté pour bosser. Et honnêtement ? Ça marche bien.

Déjà, la qualité des appels vocaux est top. On lance un salon audio comme on ouvre une porte. Pas de sonnerie, pas de friction. On entre, on discute. Point.

Ensuite, les rôles et permissions sont ultra flexibles. Tu veux créer un espace privé pour un projet sensible ? C’est plié en 30 secondes. Tu veux un bot qui joue du Lo-Fi dans le canal ? Possible aussi (même si pas vital, on est d’accord).

Mais soyons clairs : Discord reste un peu anarchique. Pas de hiérarchie de dossiers claire, notifications parfois flippantes, et une image encore trop “geek” pour certaines boîtes.

À retenir :
– Super pour les équipes créatives, à l’aise avec le digital
– Flexibilité maximale
– Moins formel, donc moins bloquant

Alors, qui gagne ?

Pas de suspense inutile : ça dépend de votre façon de bosser.

– Vous êtes une PME structurée, déjà sous Microsoft ? Teams est une évidence.
– Vous cherchez un espace de collaboration simple, avec plein d’apps ? Slack fait le boulot.
– Vous êtes une équipe jeune, créative, ou en remote permanent ? Discord peut surprendre, dans le bon sens.

Une chose est sûre : ces outils ne remplacent pas la clarté dans la communication. Tu peux avoir le meilleur outil du monde, si personne ne sait l’utiliser ou que tout le monde parle en même temps, ça sert à rien.

Alors avant de choisir, pose-toi les bonnes questions : vous travaillez comment ? Vous avez besoin de structure, de flexibilité, de fun ? De tout ça à la fois ?

Et toi, tu bosses avec quoi en ce moment ? Est-ce que ça t’aide vraiment à mieux collaborer… ou ça t’envoie juste plus de notifications ?

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