Non classé – Pjotr Images – Conseils & Outils pour Entrepreneurs, Managers et Indépendants https://www.pjotr-images.com Mon, 14 Jul 2025 17:46:04 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.1 https://www.pjotr-images.com/wp-content/uploads/2025/06/cropped-icon-32x32.png Non classé – Pjotr Images – Conseils & Outils pour Entrepreneurs, Managers et Indépendants https://www.pjotr-images.com 32 32 CRM, ERP, outils collaboratifs : comment faire les bons choix sans exploser le budget https://www.pjotr-images.com/crm-erp-outils-collaboratifs-comment-faire-les-bons-choix-sans-exploser-le-budget/ https://www.pjotr-images.com/crm-erp-outils-collaboratifs-comment-faire-les-bons-choix-sans-exploser-le-budget/#respond Mon, 14 Jul 2025 16:28:56 +0000 https://www.pjotr-images.com/crm-erp-outils-collaboratifs-comment-faire-les-bons-choix-sans-exploser-le-budget/ On ne va pas se mentir : quand on commence à regarder pour équiper son entreprise d’un CRM, d’un ERP ou d’outils collaboratifs, on se retrouve vite avec une avalanche de solutions, des comparatifs à rallonge… et l’impression qu’il va falloir vendre un rein pour s’en sortir. Franchement, qui a le temps (et le budget) pour ça ?

Et pourtant, ce sont des outils devenus quasi incontournables si on veut scaler, gagner en efficacité, ou juste arrêter de perdre des heures à recoller des bouts d’infos dans des tableaux Excel. J’ai eu ce moment de déclic en 2021, en plein rush de production pour un client : impossible de savoir qui avait validé quoi, les infos éparpillées dans Slack, Trello, Google Docs… un enfer. Depuis, je me suis plongé dans l’univers des outils pro. Et à force de galérer (et d’expérimenter), j’ai trouvé quelques principes simples qui évitent de cramer tout le budget. D’ailleurs, si vous êtes du genre à aimer fouiller un peu plus loin, jetez un œil à https://www.pole-trimatec.fr : ils ont parfois des ressources ou appels à projets qui peuvent filer un coup de main.

1. Commencez par poser le vrai problème (pas celui que vendent les éditeurs)

Avant de chercher « le meilleur CRM du marché », demandez-vous ce que vous cherchez à résoudre. C’est bête, mais tellement de boîtes se plantent là-dessus. Un CRM ? Oui, mais pour quoi faire ? Gérer un pipeline de ventes ? Centraliser les fiches clients ? Automatiser des relances ? Le besoin exact change tout.

Astuce perso : prenez une feuille (ou Notion si vous êtes digital à fond), et notez une journée type. Quelles tâches vous bouffent du temps ? Où ça coince ? Ce sont ces frictions-là que l’outil doit résoudre. Pas celles imaginées par un commercial en costard qui ne sait pas ce que c’est que d’avoir 15 onglets ouverts en même temps.

2. Ne tombez pas dans le piège du “tout en un magique”

Alors oui, certains outils promettent de tout faire : CRM, facturation, gestion de projet, tickets SAV, café et massages inclus. Mais en vrai ? Souvent, ils font tout moyennement. Et quand on essaie de les configurer, on passe plus de temps à comprendre la logique de l’outil qu’à bosser sur son cœur de métier.

Mon conseil ? Privilégiez des outils spécialisés mais connectables. Un CRM simple (genre Pipedrive ou Hubspot), un outil de gestion de projet à côté (Asana, ClickUp…), et une bonne couche d’automatisation (Zapier, Make). C’est plus modulaire, plus souple. Et souvent moins cher au final.

3. Faites vos calculs. Sérieusement.

Un CRM à 15 €/mois par utilisateur, ça a l’air hyper raisonnable. Mais si vous avez une équipe de 20 personnes, ça vous fait déjà 300 € par mois. Sans compter les modules payants, les coûts cachés, la formation, le temps de paramétrage… Faites une vraie projection annuelle avant de vous engager. C’est là que beaucoup explosent le budget sans s’en rendre compte.

Un exemple ? Une PME avec 12 personnes, sur un outil « gratuit » mais qui débloque ses vraies fonctionnalités à partir de l’offre Pro. Résultat : 2 800 € dépensés la première année, alors qu’ils pensaient ne pas dépasser 500 €. Ça pique.

4. Testez en conditions réelles (et pas juste pendant la pause café)

Les démos, c’est bien joli. Mais rien ne vaut une vraie phase test. Bloquez une demi-journée avec votre équipe, sur un vrai cas concret. Chargez vos vrais fichiers clients, testez les automatisations, vérifiez que l’outil ne ralentit pas votre manière de bosser. C’est là que vous verrez si ça passe… ou si ça coince grave.

Pro tip : choisissez un outil qui propose une période d’essai sans carte bancaire. Ça évite de se faire piéger par des renouvellements automatiques (oui, ça m’est arrivé… deux fois).

5. Et surtout… impliquez les bonnes personnes dès le début

Un outil, même génial, ne sert à rien si personne ne s’en sert. Donc impliquez les gens qui vont vraiment l’utiliser. Pas juste le DAF ou le CEO. Les commerciaux, les chefs de projet, les gens du terrain. Demandez-leur leur avis, faites-les tester, écoutez ce qu’ils vous remontent.

Vous allez peut-être être surpris : parfois, l’outil préféré du DG est celui que tout le reste de l’équipe déteste. Et devinez quoi ? Si personne ne l’utilise, c’est de l’argent (et du temps) foutu en l’air.

En résumé ? Moins, mais mieux

Pas besoin d’avoir 10 outils ultra-puissants pour être bien équipé. Il vaut mieux 2 ou 3 outils simples, bien choisis, bien utilisés, que personne ne déteste ouvrir le matin. Et surtout, il vaut mieux avancer petit à petit, quitte à changer en cours de route, plutôt que de signer un contrat sur 3 ans qui vous coince dans une usine à gaz.

Et vous, vous utilisez quoi comme outils aujourd’hui ? Vous galérez avec un CRM trop complexe ? Vous avez trouvé une perle rare ? Venez en parler, c’est toujours un bon sujet entre pros.

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Externaliser la formation : quand, pourquoi et avec qui ? https://www.pjotr-images.com/externaliser-la-formation-quand-pourquoi-et-avec-qui/ https://www.pjotr-images.com/externaliser-la-formation-quand-pourquoi-et-avec-qui/#respond Thu, 10 Jul 2025 18:52:58 +0000 https://www.pjotr-images.com/externaliser-la-formation-quand-pourquoi-et-avec-qui/ À un moment, faut être honnête : gérer la formation en interne, c’est un peu comme monter un meuble IKEA sans notice. On croit que ça va le faire, on se lance avec enthousiasme, et puis… le doute s’installe. Trop de sujets à couvrir, pas assez de temps, et surtout pas les bonnes compétences en interne. Bref, ça coince.

Alors forcément, la question se pose : est-ce que ce serait pas plus simple d’externaliser la formation ? Franchement, dans beaucoup de cas, la réponse est oui. Et ça vaut le coup de s’y pencher sérieusement. D’ailleurs, certaines boîtes spécialisées comme https://www.fcpr-formation.fr proposent des solutions super bien ficelées, que ce soit pour former une équipe commerciale en galère ou faire monter un manager en compétences sur le leadership.

Pourquoi externaliser la formation ?

Déjà, pour aller plus vite. Quand t’as un enjeu urgent (genre une équipe à former sur un nouveau CRM déployé dans deux semaines), tu peux pas attendre que Jean-Marc du service RH suive une formation de formateur. T’as besoin d’un pro, tout de suite. Un formateur qui connaît le terrain, qui a déjà vécu les galères, et qui va droit au but.

Et puis y’a la question de l’expertise. Certaines thématiques sont trop spécifiques ou trop techniques pour être bricolées en interne. Exemple tout bête : la cybersécurité. C’est pas parce que ton DSI a lu deux articles sur LinkedIn qu’il peut animer une formation béton sur le sujet. Là, clairement, faut aller chercher un spécialiste. Pareil pour des soft skills pointus comme la gestion des conflits ou le coaching d’équipe. Ce sont des compétences qui s’enseignent pas à la va-vite.

Quand est-ce que ça vaut vraiment le coup ?

Y’a pas de recette magique, mais voici quelques signes qui doivent te mettre la puce à l’oreille :

  • Tu galères à construire un programme cohérent : trop de sujets, pas de fil rouge…
  • Tu manques de formateurs en interne : ou alors ils sont dispo en… novembre 2026.
  • Les formations internes sont mal notées : si les feedbacks sont tièdes voire négatifs, c’est qu’il y a un souci.
  • Tu veux scaler rapidement : former 50 personnes en 1 mois, bon courage sans renfort extérieur.

Perso, j’ai vu une PME de 80 personnes exploser ses résultats commerciaux en 6 mois après avoir externalisé ses formations ventes à une boîte ultra spécialisée. Avant ça ? C’était PowerPoint soporifique et cafés froids. Après ? Mises en situation, jeux de rôles, et surtout, des clients qui signaient plus vite.

Avec qui externaliser ?

Là, faut pas se planter. Choisir un prestataire de formation, c’est comme choisir un architecte pour ta maison : tu confies les clés. Donc quelques critères simples à vérifier :

  • Est-ce qu’ils comprennent ton secteur ? C’est essentiel. Un formateur qui débarque dans une boîte industrielle avec une présentation pensée pour une startup tech, c’est le crash assuré.
  • Est-ce qu’ils ont des retours clients solides ? Appelle, creuse, demande des noms, des cas concrets.
  • Est-ce qu’ils adaptent leur approche ? Une formation copier-coller, c’est non. Chaque équipe a ses codes, son niveau, ses galères.
  • Sont-ils certifiés Qualiopi ? C’est pas qu’un tampon : c’est un gage de sérieux, surtout pour mobiliser les financements via l’OPCO.

Et si tu veux un conseil : fais toujours un test. Une demi-journée, un atelier, un module pilote. C’est le meilleur moyen de voir si ça colle.

Les limites à avoir en tête

Bon, soyons francs : externaliser, c’est pas non plus la solution miracle. T’as toujours besoin d’un référent en interne pour piloter tout ça. Sinon, tu risques de dépenser une blinde pour une formation qui ne sera jamais réellement appliquée au quotidien.

Et puis, y’a des sujets que t’as tout intérêt à garder chez toi : la culture d’entreprise, les valeurs, les process maison. Ça, c’est ta patte, ton ADN. Ça s’externalise pas.

En résumé ?

Externaliser la formation, c’est souvent une excellente idée… à condition de bien cibler le “quoi”, le “quand” et surtout le “avec qui”. Le bon prestataire peut transformer une formation classique en un vrai levier de transformation. Le mauvais ? Il te fait perdre du temps, de l’argent et la confiance des équipes.

Alors, t’en es où toi ? Tu gères encore tout en interne ou t’as déjà testé l’externalisation ?

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Coaching en entreprise : levier de performance ou simple effet de mode ? https://www.pjotr-images.com/coaching-en-entreprise-levier-de-performance-ou-simple-effet-de-mode/ https://www.pjotr-images.com/coaching-en-entreprise-levier-de-performance-ou-simple-effet-de-mode/#respond Tue, 01 Jul 2025 10:22:30 +0000 https://www.pjotr-images.com/coaching-en-entreprise-levier-de-performance-ou-simple-effet-de-mode/ Ces dernières années, impossible de passer à côté : le coaching en entreprise est partout. Dans les open spaces, sur LinkedIn, même autour de la machine à café, on en parle. Certains y voient un accélérateur de performance, d’autres lèvent un sourcil en mode “encore un buzzword à la mode”. Alors, qu’est-ce qui se cache vraiment derrière cette tendance ? Est-ce qu’on y gagne vraiment quelque chose… ou est-ce juste une jolie vitrine RH ?

Franchement, j’ai moi-même été un peu sceptique au début. Puis j’ai échangé avec deux dirigeants à Lyon, dans le quartier de la Part-Dieu, qui m’ont raconté comment un coach les avait aidés à débloquer une situation ultra tendue entre deux équipes. Résultat : -25% de turnover en un an. Pas mal. Et si vous voulez creuser le sujet, je vous conseille d’aller faire un tour sur https://www.planete-coaching.com : c’est une mine d’or, avec des exemples très concrets de coaching en action.

Le coaching pro, concrètement, ça sert à quoi ?

Attention, on ne parle pas ici du coaching “développement personnel version Instagram”. Le coaching en entreprise, c’est souvent très pragmatique. Le coach, c’est un miroir (pas toujours confortable), qui vous pousse à clarifier vos objectifs, à affronter les non-dits, et à sortir du mode pilote automatique.

Un exemple ? Une boîte de tech à Montpellier a fait appel à une coach pour aider ses managers à mieux gérer leur temps et déléguer. Résultat : des réunions deux fois plus courtes, des prises de décision plus fluides, et une ambiance franchement plus détendue.

Performance : vrai levier ou illusion ?

La question qui fâche un peu : est-ce que ça marche VRAIMENT ? Bah… pas toujours. Ça dépend du coach, de la demande, et surtout de l’envie de jouer le jeu. Un coaching imposé “parce qu’il faut cocher la case bien-être au travail” ? Autant jeter l’argent par la fenêtre.

Mais quand c’est bien cadré, avec un objectif clair (résoudre un conflit, accompagner une prise de poste, booster un collectif…), les résultats sont souvent bluffants. Une étude menée par l’ICF (International Coach Federation) a révélé que 86% des entreprises ayant investi dans le coaching ont constaté un retour sur investissement positif. Ça calme.

Effet de mode ou transformation durable ?

Ouais, on peut dire que c’est à la mode. C’est vrai. Mais est-ce que ça veut dire que c’est inutile ? Pas forcément. En fait, c’est peut-être juste le signe que les entreprises commencent enfin à s’attaquer sérieusement aux questions humaines. Fini le management version tableau Excel et coupes budgétaires à l’aveugle.

Perso, je vois le coaching comme une sorte de catalyseur. Il ne fait pas le boulot à votre place, mais il vous aide à aller droit au but. Il vous oblige à regarder ce que vous évitez depuis des mois. Et rien que ça, c’est pas rien.

Comment savoir si c’est pour vous (ou votre boîte) ?

Posez-vous des vraies questions : est-ce que vous tournez en rond sur les mêmes sujets ? Est-ce que la communication est bloquée dans votre équipe ? Est-ce que vos managers galèrent à embarquer les équipes ? Si oui, il est peut-être temps de tester un coaching ciblé, sur 3 ou 6 mois, sans pression, juste pour voir.

Et surtout, choisissez bien la personne. Il y a du très bon… et du très flou. N’hésitez pas à demander des références, à rencontrer plusieurs profils. Le “fit” compte énormément. C’est un peu comme un psy : si ça passe pas, ça marchera pas.

En résumé : utile si bien utilisé

Le coaching en entreprise, ce n’est pas une baguette magique. C’est un outil. Et comme tout outil, il peut faire des merveilles ou ne rien changer du tout. Tout dépend de comment (et pourquoi) on s’en sert.

Mais dans un monde pro qui évolue aussi vite – nouvelles générations, télétravail, quête de sens… – avoir un espace pour prendre du recul, poser des mots, questionner ses pratiques… franchement, ça fait du bien. Et souvent, ça fait avancer. Vraiment.

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Manager en 2025 : quelles compétences développer pour rester crédible ? https://www.pjotr-images.com/manager-en-2025-quelles-competences-developper-pour-rester-credible/ https://www.pjotr-images.com/manager-en-2025-quelles-competences-developper-pour-rester-credible/#respond Mon, 30 Jun 2025 13:33:50 +0000 https://www.pjotr-images.com/manager-en-2025-quelles-competences-developper-pour-rester-credible/ Être manager aujourd’hui, c’est déjà tout sauf simple. Mais en 2025 ? C’est un peu comme jouer à Tetris… sauf que les pièces tombent plus vite et que le jeu change toutes les semaines.

Les attentes des équipes ont explosé. Les boîtes deviennent plus agiles, plus hybrides, plus exigeantes aussi. Et entre l’IA, le télétravail, la quête de sens, les générations qui ne veulent plus “bosser pour bosser”… ben faut suivre le rythme. Sinon, on devient vite le “manager d’hier” – tu sais, celui qu’on tolère encore mais qu’on ne consulte plus vraiment.

Et si tu veux garder ta légitimité, va falloir muscler quelques compétences clés. Pas besoin de tout réinventer hein, mais clairement, ce que tu faisais en 2018 ne suffit plus.

J’ai d’ailleurs trouvé un super comparatif des parcours pros actuels sur https://parcours-emploi.com : franchement, c’est utile pour prendre un peu de recul et envisager où se (re)former intelligemment.

1. La compétence n°1 : l’intelligence émotionnelle

Je sais, on en parle partout. Mais là, on n’est plus dans le “soft skill sympa à avoir”. En 2025, gérer une équipe sans comprendre ce qui se joue dans leurs têtes (et dans leurs tripes), c’est comme piloter un avion sans radar.

Les collaborateurs attendent de la reconnaissance, de l’écoute, de la clarté dans les moments flous. Et avec les rythmes de boulot qui s’accélèrent, le stress qui grimpe, les burnouts qui s’installent vite… un manager incapable de capter les signaux faibles devient un risque.

Donc oui, savoir lire entre les lignes, poser des questions ouvertes, sentir quand quelqu’un décroche… c’est devenu essentiel. Et non, ce n’est pas inné. Ça s’apprend. Vraiment.

2. Savoir coacher, pas juste “gérer”

Avant, un manager ça fixait les objectifs, faisait les bilans, recadrait si besoin. Maintenant ? Tu dois accompagner, motiver, développer les gens. Un peu comme un coach sportif qui connaît bien les forces de chaque joueur et qui ajuste son discours en permanence.

Perso, j’ai vu des managers perdre pied parce qu’ils pensaient que donner un feedback par trimestre, c’était suffisant. Spoiler : c’est pas suffisant. Aujourd’hui, les équipes veulent du feedback continu, du soutien personnalisé.

T’as pas besoin d’être un gourou du leadership. Mais tu dois vraiment apprendre à poser les bonnes questions, à aider les gens à se poser les leurs, à célébrer les mini-victoires. Ça change tout.

3. Maîtriser l’IA (un minimum)

Alors non, on ne te demande pas de coder une IA générative entre deux réunions. Mais en 2025, un manager qui ne comprend rien aux outils dopés à l’IA… ben il est vite largué.

Tu dois savoir ce que ton équipe peut automatiser, ce qui peut être boosté avec des prompts bien calibrés, ou comment ChatGPT (oui, coucou) peut t’aider à synthétiser des idées ou des comptes-rendus. Tu veux un exemple concret ? Une de mes connaissances, manager dans une PME à Lille, a réduit de 40% le temps de reporting mensuel en mixant Notion + IA. Résultat : moins de paperasse, plus de temps pour les vraies discussions.

Si tu restes bloqué sur “je préfère faire à l’ancienne”, t’es mort. Gentiment, mais mort.

4. La capacité à gérer l’incertitude (et à la transmettre)

Je te le dis comme je le pense : les plans figés à 5 ans, c’est fini. On vit dans une époque où tout peut basculer en trois semaines. Guerre, crise sanitaire, nouvelle techno, changement de politique interne… boum.

Du coup, les bons managers en 2025 sont ceux qui acceptent l’incertitude. Mieux : qui arrivent à embarquer leur équipe avec eux, malgré l’instabilité. Et ça, ça passe par une communication claire, transparente, régulière. Même quand t’as pas toutes les réponses.

Le pire, c’est pas de dire “je sais pas”. Le pire, c’est de faire semblant de savoir.

5. Créer un collectif (même à distance)

T’as déjà essayé de créer de la cohésion avec une équipe éclatée entre Marseille, Toulouse et Montréal ? C’est un vrai défi. Mais c’est le quotidien de plein de managers en 2025.

Créer une culture d’équipe sans la machine à café, sans les apéros d’impro, sans les échanges en face-à-face… ben ça demande une intention forte. Faut ritualiser les moments informels, créer des espaces de parole, organiser des temps où on ne parle pas que de boulot.

Une amie DRH me disait récemment : “Le lien ne se crée plus par défaut. Il faut l’orchestrer.” C’est tellement vrai.

Et toi, t’en es où ?

Tu te reconnais là-dedans ? Tu te dis que t’as déjà une bonne base, ou au contraire que va falloir te mettre à jour ?

Parce qu’en vrai, personne n’est 100% prêt. Mais ce qui compte en 2025, c’est pas d’être parfait. C’est d’évoluer, de rester curieux, de tester des trucs. Et surtout, de continuer à être un manager qui donne envie de bosser ensemble.

Alors, t’attends quoi pour t’y mettre ?

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Comment trouver un bon prestataire local sans perdre son temps https://www.pjotr-images.com/comment-trouver-un-bon-prestataire-local-sans-perdre-son-temps/ https://www.pjotr-images.com/comment-trouver-un-bon-prestataire-local-sans-perdre-son-temps/#respond Fri, 27 Jun 2025 11:02:13 +0000 https://www.pjotr-images.com/comment-trouver-un-bon-prestataire-local-sans-perdre-son-temps/ Franchement, si tu as déjà passé une demi-journée à chercher un plombier ou un graphiste fiable, tu sais à quel point ça peut te plomber (sans mauvais jeu de mot). Entre les sites lents, les avis douteux et les appels qui ne répondent jamais, c’est vite le casse-tête. Pourtant, que tu sois indépendant, patron de PME ou chargé de projet dans une grosse boîte, on en revient toujours à la même question : *à qui je peux confier ça les yeux fermés ?*

Et là, la tentation est grande de taper un truc comme *plombier Bayonne* et de cliquer sur le premier lien venu. Mauvais réflexe ? Pas toujours. Si tu tombes sur un site comme https://plombier-bayonne.fr, propre, clair, avec des infos concrètes et des avis authentiques, tu sens que t’as mis le pied au bon endroit. Mais c’est justement ça le vrai sujet : comment tu fais pour distinguer un bon prestataire d’un joli site vide ?

1. Commence par le bouche-à-oreille (même numérique)

C’est vieux comme le monde, mais ça marche. Pose la question autour de toi : collègues, partenaires, même sur LinkedIn ou Slack si tu bosses dans un collectif. J’ai trouvé un développeur freelance en or comme ça, juste grâce à une reco glissée dans un message un peu anodin.

Et si t’as pas ce réseau ? Fouille les forums pros, les groupes Facebook locaux (oui, encore en 2025 ça existe), les commentaires sous les posts spécialisés. Les vrais retours clients, c’est de l’or en barre.

2. Prends 15 minutes pour creuser un peu (pas 2h, mais un peu quand même)

Je sais, t’es pressé. Mais si tu choisis au pif, tu perds 3 fois plus de temps derrière. Donc check rapidement ces points :

  • Le site est-il clair, pro, à jour ?
  • Y’a-t-il des avis Google récents, bien rédigés ?
  • Tu peux appeler ? Ils répondent ? (ça paraît bête mais c’est révélateur)

Petit conseil perso : regarde aussi s’ils sont actifs quelque part (réseaux sociaux, blog, fiches outils). Un prestataire qui prend la peine de communiquer un minimum, souvent, c’est quelqu’un qui prend soin de son taf.

3. Pose les bonnes questions, cash

Quand tu fais ton premier contact, va droit au but. Voici quelques questions simples qui font gagner du temps :

  • Est-ce que c’est vous qui intervenez ou vous sous-traitez ?
  • Quel est votre délai d’intervention / livraison ?
  • Est-ce que vous avez déjà bossé avec des pros comme moi ?
  • Vous pouvez me montrer un exemple concret de ce que vous avez fait récemment ?

Et surtout, écoute comment la personne répond. T’as le droit de ressentir si ça sonne juste ou pas. On ne signe pas un devis avec quelqu’un qui te donne déjà mal au ventre au téléphone.

4. Un bon prestataire, c’est pas juste un bon technicien

Ça, c’est un piège classique. Tu prends un type ultra-compétent, mais qui te plante au dernier moment, qui comprend rien à tes contraintes business, ou qui t’envoie un devis en mode PDF 1998. Pas possible.

Un bon prestataire local, c’est aussi quelqu’un qui communique bien, qui comprend vite tes attentes, et qui est réactif. Mieux vaut quelqu’un d’un peu moins “expert”, mais carré, joignable, et fiable, que l’inverse.

5. Fixe un cadre dès le début (même pour un truc “simple”)

Un logo, une petite fuite, une vidéo de 2 minutes… peu importe. Pose le cadre noir sur blanc. Délais, prix, livrables, modalités de paiement. Même si c’est un prestataire recommandé par ton cousin. Pas de place au flou. Ça évite 80% des galères.

Et ensuite ? Garde-les au chaud

Quand tu tiens un bon, garde son contact précieusement. Crée-toi un petit carnet de prestataires testés et validés, par ville, par domaine, avec 2-3 notes. Parce que quand t’en auras besoin en urgence à nouveau, t’auras pas le temps de refaire tout le processus.

Trouver un prestataire local fiable, ça peut paraître chronophage au début. Mais une fois que t’as les bons réflexes, ça va beaucoup plus vite. Et surtout, ça t’évite des soucis. Perso, je préfère passer 30 minutes à bien choisir, que 3 jours à rattraper les dégâts d’un mauvais choix. Et toi ?

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Slack, Teams ou Discord : lequel booste vraiment la collaboration ? https://www.pjotr-images.com/slack-teams-ou-discord-lequel-booste-vraiment-la-collaboration/ https://www.pjotr-images.com/slack-teams-ou-discord-lequel-booste-vraiment-la-collaboration/#respond Wed, 18 Jun 2025 02:58:30 +0000 https://www.pjotr-images.com/?p=39 Slack, Teams ou Discord. Trois noms qui reviennent sans arrêt dans les discussions pro dès qu’on parle de bosser “mieux” en équipe. Et franchement, difficile de passer à côté : chaque plateforme a ses fans, ses détracteurs, et ses petites particularités qui font pencher la balance.

Mais alors… lequel choisir quand on cherche vraiment à booster la collaboration au taf ? Pas juste papoter ou empiler des canaux, hein. Non. Je parle de bosser ensemble, avancer plus vite, éviter les couacs.

Allez, on fait le tri ensemble.

Slack : le roi du chat bien rangé

Slack, c’est un peu le vétéran cool du trio. Arrivé avant les autres sur le terrain des outils modernes, il a été le premier à casser les codes de l’email.

Perso, j’ai bossé dans une agence où tout tournait sur Slack. Résultat ? Des canaux clairs, des emojis à foison (parfois trop), et une vraie culture de la réponse rapide. Tu poses une question, tu reçois souvent une réponse dans la minute. Pratique. Très.

Ce que j’ai aimé :
– L’interface super fluide
– Les intégrations (Trello, Google Drive, Zapier… tout y passe)
– La recherche interne (franchement puissante si on s’y prend bien)

Mais… faut le dire : dès que l’équipe grandit, Slack peut devenir un joyeux foutoir. Trop de canaux, trop de notifications, et cette impression d’être *obligé* d’être connecté tout le temps. Et ça, pour la concentration, c’est pas top.

Teams : le poids lourd corporate

Ah, Teams. L’outil préféré des DSI, surtout si l’entreprise est déjà sous Microsoft 365. C’est intégré, c’est solide, et ça fait le taf. Mais… est-ce que ça “booste” vraiment la collaboration ? Hmm.

Côté structure, Teams est ultra carré. Tu peux créer des équipes, des sous-équipes, rattacher des fichiers Word, Excel, des calendriers. Tout est là. Vraiment tout. Tellement tout que parfois… on se perd.

J’ai accompagné une PME de 60 personnes qui a basculé sur Teams. Leur retour après 3 mois ? “C’est bien, mais faut un mode d’emploi.” Pas faux. On est loin du côté intuitif de Slack ou Discord.

Ce qui joue en sa faveur :
– Ultra intégré à l’environnement Windows
– Appels et réunions en un clic
– Gestion documentaire (versionnage, coédition) bien fichue

Mais attention : Teams est pensé pour les organisations structurées. Si tu bosses en mode agile, startup ou freelance… tu risques de te sentir à l’étroit.

Discord : le rebelle devenu pro

Discord, à la base, c’est la plateforme des gamers. Mais depuis le COVID, surprise : plein d’équipes (créatifs, devs, assos, startups) l’ont adopté pour bosser. Et honnêtement ? Ça marche bien.

Déjà, la qualité des appels vocaux est top. On lance un salon audio comme on ouvre une porte. Pas de sonnerie, pas de friction. On entre, on discute. Point.

Ensuite, les rôles et permissions sont ultra flexibles. Tu veux créer un espace privé pour un projet sensible ? C’est plié en 30 secondes. Tu veux un bot qui joue du Lo-Fi dans le canal ? Possible aussi (même si pas vital, on est d’accord).

Mais soyons clairs : Discord reste un peu anarchique. Pas de hiérarchie de dossiers claire, notifications parfois flippantes, et une image encore trop “geek” pour certaines boîtes.

À retenir :
– Super pour les équipes créatives, à l’aise avec le digital
– Flexibilité maximale
– Moins formel, donc moins bloquant

Alors, qui gagne ?

Pas de suspense inutile : ça dépend de votre façon de bosser.

– Vous êtes une PME structurée, déjà sous Microsoft ? Teams est une évidence.
– Vous cherchez un espace de collaboration simple, avec plein d’apps ? Slack fait le boulot.
– Vous êtes une équipe jeune, créative, ou en remote permanent ? Discord peut surprendre, dans le bon sens.

Une chose est sûre : ces outils ne remplacent pas la clarté dans la communication. Tu peux avoir le meilleur outil du monde, si personne ne sait l’utiliser ou que tout le monde parle en même temps, ça sert à rien.

Alors avant de choisir, pose-toi les bonnes questions : vous travaillez comment ? Vous avez besoin de structure, de flexibilité, de fun ? De tout ça à la fois ?

Et toi, tu bosses avec quoi en ce moment ? Est-ce que ça t’aide vraiment à mieux collaborer… ou ça t’envoie juste plus de notifications ?

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